C’est l’intuition forte du Président-fondateur de ViTi-Coaching, Jean-Baptiste Latour lorsqu’il créé ViTi à partir de 2013 :
« L’enjeu aujourd’hui n’est plus tellement de faire travailler les gens à distance, c’est surtout de leur permettre de se connecter humainement, de créer du lien, de renforcer la confiance« .
Découvrez dans cet article en quoi SquareMeeting met l’humain au coeur de l’interaction à distance.
Le pari fou d'absence de vidéo
Qui eut cru que ne pas se voir puisse rapprocher davantage ? Quels en sont les rouages ? La vidéo peut souvent donner à tort un sentiment de présentiel. Or on sait qu’à distance, sans regard direct (on regarde son écran et non sa caméra), dans des contextes différents (une notification peut surprendre un participant sans que les autres ne le sachent, etc.), on a tendance à interpréter voire sur-interpréter les signaux non-verbaux. Est-ce une raison pour les effacer ? Oui ! Faire le choix de supprimer la vidéo invite à activer sa curiosité, son mode adaptatif, à écouter autrement, à questionner davantage, y compris sur ce qui semble implicite (ex : que se passe-t’il pour toi dans ce temps de silence ?), à vérifier ou solliciter une présence vraie (ex : êtes-vous avec moi ? prêts à passer à la suite ? …). En outre, l’absence de vidéo favorise l’installation d’un climat de « non-jugement » essentiel à la confiance à distance. Sans voir les visages et les expressions de mes pairs en réunion, je suis moins amené à me faire une idée de ce qu’ils pensent ou jugent.

Ceci est d’autant plus vrai quand on sait que la tendance naturelle de certains à l’auto-critique pousse à rechercher la confirmation dans le regard de l’autre que son intervention manque de clarté, de rigueur, de concision, etc. Sans vidéo, chacun parle plus librement, concentré sur ce qu’il a à dire sans chercher à percevoir autrement que par la demande explicite de feedback, si son message est bien passé.
Un visuel original et "à l'essentiel"
Une table et quelques chaises suffisent souvent à créer de la convivialité. C’est ce que représente ce cercle autour duquel chacun représenté par une photo vient s’asseoir dans l’horizontalité, sans visibilité hiérarchique. Autour d’une table SquareMeeting, chacun a sa place et chacun est compétent là où il est. Cette horizontalité vient chercher l’engagement de chacun qui devient co-responsable de la production collective (à l’inverse d’un modèle descendant où un présentateur visuellement sur-représenté délivre un contenu). Si l’absence de vidéo s’avère utile, un support visuel est toutefois nécessaire ! Pour favoriser la concentration, diminuer les risques de décrochage ou de double-tasking. C’est aussi pour cela que les salles virtuelles SquareMeeting ne sont pas statiques, on y demande et on y reçoit la parole, on la donne, on écrit, on publie, on vote, on partage des contenus pdf, des post-it, des notes, on co-construit des plans d’action, au fur et à mesure d’un fil conducteur, ordre du jour, modèle de réunion.

En haut à gauche, on retrouvera le logo de l’entreprise ou une image parlante téléchargée par l’animateur, c’est le premier point de repère. Juste en dessous, l’objectif de la réunion est affiché ou par défaut une citation inspirante pour susciter la réflexion. L’ordre du jour et le timing de chaque étape termine d’occuper le volet gauche de l’écran. Au centre, la table, les consignes, les participants, leurs prises de parole.
Aussi est-ce paradoxalement grâce au cadre que nous offrons dans SquareMeeting, que l’ouverture est possible. C’est par ces garde-fous que chacun peut se sentir plus en confiance et donc s’ouvrir à l’autre dans la relation, la réflexion et la proximité à distance.
Vous ne connaissez pas encore SquareMeeting ? Venez vivre une expérience de codéveloppement à distance pour en faire l’expérience, pour s’inscrire, c’est par ici.